c'était ce soir
Une partition de Richard Strauss envoutante, pleine d'alacrité.
Un orchestre impeccable sous la baguette d'un Philippe Jordan inspiré.
Une distribution qui tient vraiment la route, avec, en prime une Renée Fleming suspendue.
Un merveilleux coup de vent. Le grand opéra c'est ça.
Foncez-y, il reste encore quelques dates jusqu'au 10 juillet.
PS : un jour, promis, je vous raconterai l'histoire d'un soir à Berlin, dans la loge de Simon Rattle, avec Christian Thielemann, Wolfgang Talirz et la belle Renée Fleming. J'avais eu la chance folle de pouvoir apporter des bouteilles de Paris, un vin de 1875 en particulier, qui nous avait tous remués comme Arabella, et qu'on avait tous bu à petites gorgées après le concert, en rigolant...